Le Royaume de Liègosie est une nation située au nord de la Philicie et sa capitale est Lièga.
Connu pour son riche patrimoine culturel et historique, fondé en 1830, le pays émergea de l'aspiration commune des provinces environnantes à former une union solide, symbole de la diversité et de l'unité.
Au début du XIXe siècle, la région était composée de quatre provinces distinctes : la Province de Lièga, la Province Hara-liègosienne, la Province Norinéenne, et la Province du Sud. Malgré leurs différences linguistiques et culturelles, les habitants de ces provinces partageaient un désir profond d'unité.
En 1830, une série d'événements politiques et sociaux marqua le début de la création du Royaume de Liègosie. Les habitants, guidés par le principe "L'union fait la force", décidèrent de mettre de côté leurs différences pour former une nation forte et indépendante.
Connu pour son riche patrimoine culturel et historique, fondé en 1830, le pays émergea de l'aspiration commune des provinces environnantes à former une union solide, symbole de la diversité et de l'unité.
Au début du XIXe siècle, la région était composée de quatre provinces distinctes : la Province de Lièga, la Province Hara-liègosienne, la Province Norinéenne, et la Province du Sud. Malgré leurs différences linguistiques et culturelles, les habitants de ces provinces partageaient un désir profond d'unité.
En 1830, une série d'événements politiques et sociaux marqua le début de la création du Royaume de Liègosie. Les habitants, guidés par le principe "L'union fait la force", décidèrent de mettre de côté leurs différences pour former une nation forte et indépendante.
Inspirés par le mouvement romantique de l'époque, les liègosien(ne)s embrassèrent leur diversité et adoptèrent le deltan comme langue officielle.
Le wallion (principalement parlé dans la Province de Lièga) et l'haradien devinrent des dialectes minoritaires, le wallion déclinant progressivement au profit du deltan, tandis que l'haradien se maintint principalement dans la Province Hara-liègosienne.
Cette indépendance aboutit à la reconnaissance par les puissances d'un État neutre, dans un premier temps sous l'autorité d'un gouvernement provisoire et d'un congrès national.
Avec l'installation d'un certain Leo XVII de Gallia comme premier roi des liègosien(ne)s, la Liègosie devient une monarchie constitutionnelle et une démocratie parlementaire.
L'unionisme entre capkrassiens et libéraux, scellé en 1827-1828, est consacré par un compromis en 1830 : la construction d'un État libéral où il n'y a pas de politique anticléricale et où le Capkrassisme est reconnu comme religion de la majorité, le tout fondé sur une constitution intouchable à leurs yeux, qui garantit un nombre élevé de libertés comparé aux autres lois fondamentales de l'époque.
Grâce à une industrialisation précoce dès les débuts de la révolution industrielle au xixe siècle, favorisée par des territoires dotés de charbon et densément peuplés, la Liègosie connaît une forte expansion économique et devient une puissance industrielle importante.
Par l'interventionnisme de l'État, le pays se dote rapidement du premier réseau ferroviaire du continent philicien, qui restera le plus dense.
Au cours des cinq années suivant la révolution liègosienne, la Société générale de Liègosie investit dans une quarantaine d'entreprises liègosiennes, dont quinze aciéries et sept grandes mines de charbon, introduites en Bourse de Lièga, qui vit alors l'essor le plus rapide de l'histoire des bourses de valeurs.
La forte croissance économique mondiale des années 1830 fait doubler la production de charbon liègosien.
La Liègosie est le berceau d'avancées technologiques dans de nombreux domaines comme la chimie avec la découverte d'un procédé de fabrication industrielle de la soude par Ernest Solvay.
(suite à venir...)