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Saint Empire Constantin

La ConstancieLa Constancie, en forme longue le Saint Empire ConstantinSaint Empire Constantin ou Saint Empire, est un pays du continent volcanien, situé entre le Langeton, le Commonwealth of Volcania, la Médici et l’océan.

La géographie du pays est variée. Il dispose de nombreuses plaines, forêts, montagnes et cours d’eau. Se trouve en son centre un lac d’eau douce profond d’une taille conséquente avec des connexions fluviales naturelles et artificielles vers l’océan : Le Grand Lac Constantin.

Le pays est assez densément peuplé avec une population d’environ 35 millions d’habitants. Ses plus grandes villes sont Zeroing City (dont l’aire urbaine est l’une des plus grandes du Monde GC), Aquilahelica, Constanta, Sanctus Petroleum, Nova Scotia et enfin sa capitale Constantinopolis.

Les premières recherches archéologiques au XIXe siècle par le professeur Peter Flinders ont mis en lumière que la Constancie était peuplée avant la sédentarisation des Hommes par des tribus nomades réparties sur des territoires aux abords du Lac. Fondée à l’origine par le Premier Consul, puis Empereur Constantin Ier (Konstantinos en langue constantine), dirigeant de la Confédération Byzantienne (Byzantion), la Constancie a toujours connue des régimes autocratiques puis monarchiques. Son fondateur a d’ailleurs durablement marqué le développement de la culture constantine dont de nombreux aspects du pays ont été nommés de son vivant et a posteriori en son hommage.

La Constancie moderne est une Monarchiepuissance commerciale, industrielle et agricole de première ordre mais avec une politique étrangère complexe en raison de son attachement à un régime autoritaire fort en décalage avec les nombreuses démocraties libérales des autres pays.

Le Saint Empire est une monarchie constitutionnelle unitaire placée sous l'égide d'un empereur, actuellement Marc Carter Ier.
Il a pour capitale ConstantinopolisConstantinopolis, pour langue officiellelangues officielles le constantin ancien (notamment parlé par l'(anglais)’administration, le corps dirigeant et pour monnaiediplomatique) et le Dollar Impérialnéo-constantin ($qui est la langue simplifiée la plus couramment usitée). Sa devisemonnaie en vigueur depuis la restauration de 1828 est « Force et Honneur », et son drapeau est constitué d'un l’Aigle surplombant le symbole du Dollar Impérial dans un rond blanc cerclé de lauriers sur un fond rouge.

Il s'agit d'un État du Continent de Volcania (emplacement 18) qui a vu son émergence à partir du XIe suite à l'établissement du premier Royaume.
La Constancie est un pays ancien, qui prend ses racines dans l'antiquité et qui s'est véritablement formé au milieu du Moyen Âge. Du début du XIIe siècle à la première moitié du XIXe siècle, il possède un essor économique important, avant de s'emballer lors de la seconde révolution industrielle.
Il possède l'arme nucléaire ainsi qu'une armée de pointe équipée du matériel de la compagnie présente sur plusieurs continents, IDS Corporation.
Son économie, de type capitaliste avec une intervention étatique faible, fait d’elle un des leaders mondiaux dans les secteurs de l'industrie militaire, de l’aéronautique, de l’automobile, des produits de luxe, des produits pharmaceutiques et des matières premières industrielles.

La Constancie est densément peuplé avec ses deux villes principales, Zeroing City la capitale et Aquilaheliaca ville sainte du culte de l'Aigle.
Sa population est recensée à 42,6 millions d’habitants au 1er janvier 2013, la Constancie est un pays développé, avec un indice de développement humain très élevéArgent (0,913$), le gentilé des habitants est Contantin/Constantine.


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Saint Empire Constantin

La Constancie, en forme longue le Saint Empire Constantin ou Saint Empire, est un pays du continent volcanien, situé entre le Langeton, le Commonwealth of Volcania, la Médici et l’océan.

La géographie du pays est variée. Il dispose de nombreuses plaines, forêts, montagnes et cours d’eau. Se trouve en son centre un lac d’eau douce profond d’une taille conséquente avec des connexions fluviales naturelles et artificielles vers l’océan : Le Grand Lac Constantin.

Le pays est assez densément peuplé avec une population d’environ 35 millions d’habitants. Ses plus grandes villes sont Zeroing City (dont l’aire urbaine est l’une des plus grandes du Monde GC), Aquilahelica, Constanta, Sanctus Petroleum, Nova Scotia et enfin sa capitale Constantinopolis.

Les premières recherches archéologiques au XIXe siècle par le professeur Peter Flinders ont mis en lumière que la Constancie était peuplée avant la sédentarisation des Hommes par des tribus nomades réparties sur des territoires aux abords du Lac. Fondée à l’origine par le Premier Consul, puis Empereur Constantin Ier (Konstantinos en langue constantine), dirigeant de la Confédération Byzantienne (Byzantion), la Constancie a toujours connue des régimes autocratiques puis monarchiques. Son fondateur a d’ailleurs durablement marqué le développement de la culture constantine dont de nombreux aspects du pays ont été nommés de son vivant et a posteriori en son hommage.

La Constancie moderne est une puissance commerciale, industrielle et agricole de première ordre mais avec une politique étrangère complexe en raison de son attachement à un régime autoritaire fort en décalage avec les nombreuses démocraties libérales des autres pays.

Le Saint Empire est une monarchie constitutionnelle placée sous l'égide d'un empereur, actuellement Marc Carter Ier. Il a pour capitale Constantinopolis, pour langues officielles le constantin ancien (notamment parlé par l’administration, le corps dirigeant et diplomatique) et le néo-constantin (qui est la langue simplifiée la plus couramment usitée). Sa monnaie en vigueur depuis la restauration de 1828 est l’Aigle d’Argent ($).

Histoire

La Constancie est un État très ancien du Continent Volcanien (emplacement 18) qui a émergé pendant l'antiquité et a connu plusieurs régimes différents mais tous à tendance autocratique ou monarchique.

Des tribus nomades (-8.000) à l’Empire Constantin (Xe siècle)

Peuplé à l’origine par des tribus nomades, les premiers Hommes se sont sédentarisés autour du Lac Constantin (alors appelé simplement Mer Intérieure ou Mesogeios thalassa) avec la découverte de l’agriculture et de l’exploitation des premiers minerais. Un groupement de population s’est distingué avec la tribu de Byzas qui fonda Byzantion. Cette Cité-État ne tarda pas à gagner en importance avec une élite intellectuelle et militaire largement supérieure aux autres cités voisines. Forte de ses gisements miniers et de pâturages équestres ainsi que de généraux compétents, l’armée byzantienne, composée majoritairement de piquiers et de cavalerie lourde, entreprit avec succès la soumission des autres cités qui furent incorporées dans une Alliance Byzantienne où tous les pouvoirs étaient concentrés à Byzantion.

Celle-ci fut cependant victime d’une révolte interne avec un soulèvement généralisé des cités soumises, fatiguées de payer un tribut annuel à Byzantion. Elles levèrent alors des troupes qui se coalisèrent pour marcher sur la capitale. Celle-ci fut en partie incendiée pendant le siège mais le général Philippos détruisit intégralement l’armée coalisée certes très largement supérieure en nombre mais composée uniquement de lanciers légers, totalement impuissants face à de puissantes phalanges entraînées et armées de boucliers de bronze et de longues piques. Les cités, de peur de subir le courroux du général victorieux, envoyèrent très rapidement des émissaires pour renouveler leur soumission, qui cette fois fut totale. Le Premier Consul de l’Alliance étant mort pendant le siège, Philippos fut pressenti pour devenir le chef de l’Alliance. Mais se reconnaissant lui-même comme trop âgé pour gouverner en ces temps difficiles, il nomma proposa son dernier fils encore vivant, Konstantinos, comme Premier Consul ce que le Sénat approuva unanimement.

Conscient que Byzantion, à moitié en ruine, pouvait à nouveau être victime d’une tentative de siège en raison de sa topographie très exposée, le jeune consul décida rapidement l’établissement d’une nouvelle capitale qui portera son nom : Constantinopolis. Son emplacement a en effet été choisi pour répondre à différents critères : accès direct au Lac Constantin, des collines nombreuses notamment pour les places fortes et des bras fluviaux pour verrouiller les positions clés de la ville. La nouvelle capitale fut bâtie très rapidement grâce aux riches carrières situées à proximité et ne tarda pas à recevoir les premiers bâtiments officiels.

Fort de sa nouvelle capitale qui gagna rapidement la réputation d’être imprenable, il prit la décision de concentrer les pouvoirs, non plus autour du volatile Sénat de l’Alliance mais de sa personne, il fonda ainsi l’Empire Constantin. Afin de stabiliser et de pérenniser son empire naissant, il entreprit la construction de nombreux édifices aussi bien dans la nouvelle capitale que dans les autres villes qui s’étaient jadis rebellées. Routes, aqueduc, casernes, marchés, thermes, relais de poste furent rapidement standardisées dans les villes qui perdirent toute forme d’autonomie pour constituer des éléments à part entière de ce nouvel État.

À sa mort à un âge avancé, Constantin Ier qui fut divinisé au Panthéon de Constantinopolis, laissa les bases d’un Empire qui perdurera pendant des siècles, malgré plusieurs guerres civiles qui secoueront l’État lorsque les successions impériales furent contestées. Bien que l’Empire fut chanceux d’avoir de nombreux empereurs compétents, tous reconnaîtront Constantin Ier comme le plus talentueux d’entre eux et multiplieront les hommages à son règne (dont le renvoi fréquent à son nom dans la culture constantine).

La disgrâce de l’Empire et la naissance de la royauté féodale

Cet Empire connut cependant un rapide déclin vers le VIIIe siècle qui se traduira au Xe siècle par sa chute interne. En effet, les incursions répétées de tribus nomades voulant s’installer dans les terres impériales étaient de plus en plus difficilement repoussées par une armée incapable de renouveler ses tactiques militaires. De plus, les révoltes d’esclaves devenaient de plus en plus difficiles à mater et des villes étaient régulièrement assiégées par des groupements d’esclaves rebelles. Face à ces évènements et des empereurs devenus déconnectés de la gestion de l’Empire, des aristocraties locales s’imposèrent pour imposer l’ordre dans les villes et les campagnes. Sapé de son autorité, le dernier empereur fut déposé en 983 par une coalition de familles nobles désormais mieux armées et plus riche que l’Empire lui-même.

Ces familles élurent alors un chef, non plus un empereur qui concentrerait tous les pouvoirs, mais un souverain qui devrait respecter une charte reconnaissant les droits et devoirs de l’aristocratie. Icare Ier fut élu le premier roi du Royaume de Constancie, succédant ainsi à un empire millénaire.

Ce Royaume entrepris avec ses dirigeants successifs, qui ne tardèrent pas à rétablir le caractère monarchique de leur pouvoir tout en respectant la charte royale, des changements majeurs. L’esclavage fut notamment aboli au profit d’une classe roturière tantôt paysanne ou communale. Les armées furent placées sous l’autorité directe des familles dirigeant des comtés, familles devant elles-mêmes prêter allégeance au roi à l’issue de son couronnement.

De nombreuses avancées technologiques furent découvertes grâce à la concurrence entre les familles et les contacts extérieurs avec notamment la poudre noire dès le XIVe siècle mais dont l’usage militaire fut strictement encadré jusqu’au XVIe siècle avant le développement des premières arquebuses.

Au XVIIIe siècle, fort de ses nouveaux régiments de fusiliers et de batteries de 12 livres, Jack II dit le Pillard déclara la guerre au Queensland pour assurer la suprématie de la Constancie sur le territoire Volcanien face à cette nouvelle puissance contre l’avis de son état-major qui estimait que les troupes étaient trop peu préparées à des tactiques offensives en territoire mal cartographié. Les craintes de l’état-major se confirmèrent rapidement : Le terrain queenslandais était méconnu des officiers qui n’arrivaient pas à exécuter les manœuvres farfelues du roi qui tenait à diriger lui-même ses armées alors qu’il n’avait aucune expérience militaire. L’expédition se transforma rapidement en débâcle lors de la lourde défaite du 11 mars 1750 où les troupes constantines durent battre en retraite à Torrence devant l’impossibilité de percer les batteries d’artillerie queenslandaises bien organisées et face au danger d’anéantissement que représentait une charge de cavalerie lourde ennemie. Fortes de cette résistance, les troupes queenslandaises menées par le Prince Ramius d'Astor entamèrent une poursuite de l’armée constantine en déroute. Jack II, totalement discrédité, rendit avec dépit le commandement de l’armée à son chef d’état-major pour organiser la défense du reste du corps armé.

Les troupes constantines, remotivées et dirigées correctement par des généraux compétents, repoussèrent les troupes queenslandaises qui s’avancèrent trop près des nouvelles batteries de 12 livres crachant leur mitraille meurtrière lors de la contre-offensive. Le corps queenslandais, privé de son chef tombé lors de l’attaque et trop affaibli par cette attaque pour poursuivre son offensive, envoya des émissaires au camp constantin. Rapidement, le traité de paix initialement rédigé se transforma en traité d’assistance mutuelle sur la volonté des 2 souverains, soucieux d’éviter de potentielles rivalités futures pouvant mener à des guerres meurtrières et vaines. Le pacte de Torrence, signé dans la citadelle du même nom le 11 septembre 1750, de part le mariage de Philippe de Natsukan avec la Princesse d’Astor scella une coopération entre les 2 nations qui demeure toujours intacte jusqu’à aujourd’hui.

Cependant cette guerre avec le Queensland masque une autre réalité : Jack II, poussé par ses conseillers personnels, souhaitait réaliser des conquêtes rapides pour revitaliser son régime en perte continue de vitesse : Le royaume stagnait dangereusement depuis le XVIe et cet échec militaire confirma la stagnation de la Constancie.

La révolution de 1828 et le retour de l’Empire

Cette stagnation poussa à la révolution de 1828 où Alexis II, las des principes féodaux totalement obsolètes et au retard technologique catastrophique du pays face aux puissances étrangères, renia la Charte Royale et repris le titre impérial, laissé vacant depuis près d’un millénaire. Cet acte déclencha une guerre civile des grandes familles aristocratiques, attachées à la Charte et à leur pouvoir. Cette guerre commença en défaveur des loyalistes de l’Empereur largement inférieurs en nombre avant de tourner rapidement à leur avantage grâce aux armes modernes fournies par le Queensland. En moins d’un an, les armées impériales, armées de fusils à répétition et d’artillerie, mirent en échec toutes les armées royalistes encore armées de mousquets et de batteries datant du conflit avec le Queensland. Pour éviter leur anéantissement, les grandes familles cessèrent rapidement les hostilités et prêtèrent allégeance à la couronne impériale.

L’Empereur Alexis II, profondément croyant, associa le culte ancien de Sol Invictus tombé en désuétude au Xe siècle à son régime et fonda le Saint-Empire Constantin. Cette volonté de restaurer le culte ancien a permis de cimenter la nation autour de valeurs partagées autrefois et qui bénéficiaient d’une aura considérable : En effet, la population soutenait la fin de la royauté qui les laissait dans une misère sociale très prononcée dans les quartiers populaires des villes ainsi que dans les campagnes. Les plus radicaux opposants à la royauté ont tenté d’influencer la population pour l’établissement d’un gouvernement inédit de type républicain. Ces tentatives resteront cependant sans succès face au charisme fédérateur du nouvel empereur, qui usa également d’un savant réseau de propagande vantant ses futures réformes et discréditant les républicains.

Ces réformes furent par ailleurs titanesques : en l’espace de 50 ans, la Constancie passa en 1830 d’un royaume quasiment féodal à une puissance industrielle à même de rivaliser avec les plus grandes puissances du monde Gécée à l’aube du XXe siècle. Cette renaissance pu être réalisée grâce à une réforme totale du système constantin qui s’ouvra à de nombreux intellectuels et investisseurs étrangers changeant son approche vers le modèle capitaliste. C’est d’ailleurs dans cette seconde moitié du XIXe siècle que les côtes orientales de la Constancie furent réellement colonisées. Chassant les colons deltans s’étant installés imprudemment sur les côtes, une véritable ruée vers l’est s’est effectuée. Les villes de Zeroing City et d’Aquilaheliaca furent notamment fondées suite à cette ruée, et dépassèrent rapidement Constantinopolis, qui finit par perdre son statut de capitale en 1879 lors du grave tremblement de terre qui engendra la destruction d’une majeure partie de la ville au profit de Zeroing City qui rassemblait déjà plus de 500.000 habitants et connut ses gratte-ciels avant le passage au XXe siècle.

Pendant le XXe siècle, le développement du pays continua rapidement et fut en phase avec les évolutions mondiales. Le régime connut une libéralisation dès 1923 sous l’impulsion de Manuel Ier avec l’augmentation des prérogatives du Sénat impérial qui pouvait désormais voter les lois au lieu de ne donner qu’un avis consultatif. L’Empereur gardait cependant un droit de veto mais ne l’usa jamais jusqu’à aujourd’hui, préférant la culture du dialogue avec les commissions sénatoriales ou le recours au référendum en cas de conflit avec l’organe législatif.

Au XXIe siècle, avec l’arrivée au pouvoir de Marc Carter Ier, l’Empire reste une puissance économique, industrielle et agricole de premier plan mais doit relever de nombreux défis :