Monsieur
COMMUNIQUE DE GUERRE
Chers compatriotes,
Nous avons devant nous, potentiellement, une épreuve de la pire espèce. Nous avons devant nous si l'impensable se réalise, plusieurs longs mois de bataille et de souffrance. Vous demandez quelle est notre politique ? Je vous dis : elle est de protéger notre population, partout, avec toute notre puissance et toute la force que la providence peut nous donner ; de protéger notre population contre une barbarie monstrueuse qui n'a pas d'équivalent dans le noir et lamentable recensement des crimes de l'humanité. Voilà notre politique. Vous demandez quel est notre objectif ? Je vous le dis en un mot : c'est la survie, la survie à tout prix, la survie malgré la terreur, la survie peu importe le temps et les efforts que cela demandera.
J'ai, moi-même, une confiance absolue que si tous font leurs devoirs, si rien n'est négligé et que les meilleures dispositions sont prises, comme il est fait en ce moment, que nous allons nous montrer une fois de plus capables de défendre notre terre natale, de traverser la tempête nucléaire, et de survivre à la menace du terrorisme, pendant des années si nécessaire, tout seul s'il le faut.
De toute façon, c'est ce que nous allons essayer de faire. C'est la décision du gouvernement de la République — de chaque homme qui le constitue. C’est la volonté du parlement et de la nation.
La République Gallienne et la République Brocélienne, unies ensemble dans leur quête et dans leurs besoins, défendront jusqu'à la mort leur terre natale et leurs populations, s'entraidant comme de bons camarades au mieux de leur force.
Même si de grandes parties de la Philicie et plusieurs vieux et réputés États sont tombés ou risquent de tomber sous l'emprise de la terreur, nous ne faiblirons pas, nous n'échouerons pas !
Vive la République ! Vive Gallia !
Nous ne pouvons qu'ajouter : Vive la République, Vive Gallia, la Philicie et Vive le Brocélia !
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