Histoire du pays Brocélia
Les canons des révoltés
Tentative de Putsh du 7 Juin 1869 par le Général De Bouin à Brocélie.
Cet événement ne fait partie d'aucune catégorie.
Le Général Jean De Bouin accompagné de plusieurs membres de l'Etat-Major des armées a pris d'assaut la ville de Brocélie et attaqua le palais Présidentiel où résidait le Président de l'époque Alain Marchal. Suite à une politique étrangère jugée déplorable ainsi que la haine raciale des étrangers par le général et ses accolytes, un complot s'organisa dès la fin du premier mandat du Président qui suivi sa seconde élection pour trois ans. En Mai 1869, les militaires pro De Bouin prennent part à des affrontements dans le Nord du Pays à Alizée notamment où l'on fera état de 45 morts et 234 blessés à la suite de ces évenements.
Le Président Marchal était en déplacement au Parlement ce jour du 7 Juin. Les gardes du palais se sont rendus sans se battre savant que le Président n'était pas là.
L'Armée fut déployée au Parlement qui était assaillit par les révolutionnaires.
Les renforts arrivèrent dix minutes après le début de la bataille.
Les force de De Bouin furent toutes tuées ou arrêtées. La plupart sont condamnés à mort pour haute trahison. Mais le Général aura la vie sauve. Mais il fut torturé tout au long de son existence. Il demenda lui même, à 54 ans, en 1901, à être écartelé. Il avait le choix souffrir ou mourir. Il fut écartelé le 7 juin 1902 devant le Parlement, sous les yeux de 24.000 personnes. Les "feuilles de choux" comme disait Alain Marchal ont fait la une avec l'écartelement pendant près de 3 semaines avant de trouver une autre histoire pour se rassasier.
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