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Monsieur

Cuco

Président de la République gallienne

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Gallia

« Ni Dieu ni maître »

Bilan provisoire de l'intervention Gallienne en Urbania

Publié le 12/07/2014
 
COMMUNIQUE DE GUERRE

 

Au 2ème jour du débarquement sur les côtes d'Antares, la tête de pont s'agrandit et le retard est rattrapé. Le 11e RAMa (Régiment d’artillerie de Marine) a débarqué, suivi par la 6e DLB (Division légère blindée). La FAR (Force d’action rapide) progresse vers l'ouest dans le but d'établir la jonction avec les troupes de l'UP. Les troupes galliennes continuent par ailleurs de réduire les poches de résistance dans la tête de pont, tandis que le 1er RI (Régiment d’infanterie) se dirige vers l'est pour faire la jonction avec les Lancastériens, et que le 1er RHP (Régiment de hussards parachutistes) essaye, sans succès, d'encercler le 726e régiment de grenadiers urbaniens au sud de la tête de pont.

À ce jour, les Crabes des cocotiers disposent d'une tête de pont de 5 à 6 km de profondeur. Un héliport est en voie de contruction devant la plage ; il permettra l'évacuation de nombreux blessés. Un port artificiel constitué de différents grands éléments préfabriqués à Gallia, acheminés sur la côte urbanienne, est en voie d'assemblage, pour faciliter des transbordements vers la plage. 

 

Beaucoup de facteurs impondérables ont nui à l'opération, et principalement :

  • la mauvaise visibilité a empêché la neutralisation de la défense par les bombardiers et l'artillerie navale ;
  • l'état de la mer, un courant marin plus fort que prévu et une mise à l'eau trop loin des plages ont causé le chavirement de nombreuses barges. Cela a également causé le chaos dans l'ordre et les lieux de débarquement.

L'artillerie navale ne semble pas avoir été à la hauteur. La visibilité n'était certes pas idéale mais les navires sont probablement restés trop éloignés de la côte. Seule, l'approche du Mistral après 10 heures le 11 juillet a pu débloquer la situation.

Le manque de chars pour appuyer la première vague s'est fait cruellement sentir. Les spahis et les dragons se sont montrés particulièrement efficaces ; ce qui prouve l'utilité de troupes d'élite bien entraînées.

Les percées entre les positions urbaniennes se sont avérées bénéfiques car elles ont permis d'attaquer les forces de l'URK à leur point faible, c'est-à-dire par derrière.

Aucune contre-attaque d'envergure n'a pu être menée par les urbaniens.

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